coups de coeur
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“Qui n’a rien planté sur terre n’a pas servi l’humanité” (proverbe africain). Un projet issu d’ateliers de poésie et de fabrication d’instruments de musique dans des foyers de requérants d’asile, pour “redonner un peu d’humanité”, dit Jonas à ❤️Elisabeth Stoudmann pour Le Temps. Mention spéciale à ❤️Amir Besmillah. Magique.
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“Dessiner le jeu, la transmission, le vivant”, “cueillir les mots et les images, l’essentiel”, écrit Joëlle Gagliardini pour présenter son projet sur son site Internet. Un très beau travail, qui collecte un matériau sublime pour les arts vivants locaux. Merci à ❤️Charlotte Filou qui a suscité cette rencontre.
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Un projet abouti créé en 9 jours de résidence par une équipe talentueuse, coachée par ❤️Michael "Maaïk" Pellegrini. Contient de nombreuses facettes de l’univers de Guillaume Pi. Un régal de tendresse et d’engagement.
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Ces femmes sont en feu; entourées et soutenues par des hommes bienveillants, qui les magnifient, elles (dé)montrent avec brio la voie pour la paix. Ensemble, ils relèvent en quelque sorte le défi divin de la Tour de Babel. Un spectacle essentiel.
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Emmenés, loin, en passant par les montagnes valaisannes. Vers le courage et la liberté, en approchant la source de la créativité. Martine/Corinna invente des histoires et nous les raconte. Toujours en rappelant à ses soeurcières — dont la pure & douce ❤️Sophie Solo — leurs ailes de libellules.
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L’atelier gazelle est absolument fan des dessins de Sarah André, aka André André. Ils font du bien tellement ils nous font rire de nous. Cœur avec les mains, bisous et cie. En plus, elle a publié un livre sur le théâtre chez Ripopée.
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Les Plaisantes, alias Wave Bonardi et Julia Portier, complices inouïes, nous offrent une écriture et un jeu de haute qualité, généreux et engagés. Ce sont les fruits d'une recette nourrie par un intense travail collectif. Elles se sont en effet ici très bien entourées, notamment du génial ❤️Oscar Gómez Mata et sa transmission bienveillante, ainsi que de la sublime & singulière comédienne ❤️Agathe Lecomte. Cette dernière porte avec brio le message fort du spectacle, qui nous donne des frissons après avoir beaucoup ri.
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Devant l’atelier gazelle, il y a le bel autoportrait de la photographe Valérie Frossard, de sa série Autofictions, un projet génial qu’elle a expérimenté dans des milieux très divers. Valérie fait aussi de super photos pour les arts vivants. Absolument fan.